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L’été qui s’installe sera le moment privilégié pour l’équipe de « Bien fait ici » d’explorer des avenues de collaboration, voire de partenariat avec le gouvernement fédéral. Les premières rencontres avec des administrateurs de programmes de subvention et des officiers de cabinets ministériels sont de bon augure : leurs oreilles sont ouvertes, notre raison d’être est appréciée. La balle est dans notre camp, alors, deux actions seront proposées la semaine prochaine aux entreprises participantes.
Dans le but de protéger la compétitivité des entreprises canadiennes et de répondre au volume croissant du commerce électronique, l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) propose d’apporter des modifications au Règlement sur la détermination de la valeur en douane qui renforceront les cadres législatif et réglementaire afin d’aider les importateurs canadiens à rivaliser sur un pied d’égalité avec les importateurs établis à l’étranger et de remédier à la perte de recettes douanières pour le gouvernement.
Grâce à un partenariat avec la société EVO Canada, les entreprises participant au programme « Bien fait ici » ont désormais la possibilité de réduire de milliers, voire de dizaines de milliers de dollars par année les frais que Visa et MasterCard leur exigent sur chaque transaction effectuée par leurs clients.
Avec sa scierie de contreplaqués qui borde la rivière Fraser en banlieue de Vancouver en Colombie-Britannique, Richmond Plywood Corporation est le fruit de la coopération de quelque 300 investisseurs ou rêveurs qui, au milieu des années ’50, ont alors cru dans l’entreprise.
La Presse Canadienne rapportait récemment que le premier ministre Justin Trudeau, lors d’un débat public à l’Université d’Ottawa, a fait valoir qu’au lieu de carrément tourner le dos aux produits fabriqués en Chine, les entreprises devraient opter plus souvent pour des matériaux et des produits provenant de pays qui ont moins d’impact sur les changements climatiques et où les droits des travailleurs sont respectés.