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La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) vient de signer un mémoire que pourraient facilement reprendre à leur compte les chambres de commerce de tout le pays. L’étude propose un état des lieux et une dizaine de considérations stratégiques concernant les atouts et les vulnérabilités du secteur manufacturier face aux défis, mais aussi aux opportunités que pose cette multiplication des mesures subventionnaires et protectionnistes, en particulier aux États-Unis, mais également en Europe.
Les manufacturiers engagés auprès du programme « Bien fait ici » ont tous en commun, sauf exception, de vouloir aussi vendre leurs produits à l’extérieur des frontières du Canada. Si de véhiculer le logo « Bien fait ici » peut être séduisant, le certificat d’origine est, lui, formellement nécessaire pour faire des affaires avec l’étranger. Cet article de l’agence EDC démystifie en termes clairs les démarches à accomplir pour l’obtenir et le conserver.
L’été qui s’installe sera le moment privilégié pour l’équipe de « Bien fait ici » d’explorer des avenues de collaboration, voire de partenariat avec le gouvernement fédéral. Les premières rencontres avec des administrateurs de programmes de subvention et des officiers de cabinets ministériels sont de bon augure : leurs oreilles sont ouvertes, notre raison d’être est appréciée. La balle est dans notre camp, alors, deux actions seront proposées la semaine prochaine aux entreprises participantes.
Dans le but de protéger la compétitivité des entreprises canadiennes et de répondre au volume croissant du commerce électronique, l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) propose d’apporter des modifications au Règlement sur la détermination de la valeur en douane qui renforceront les cadres législatif et réglementaire afin d’aider les importateurs canadiens à rivaliser sur un pied d’égalité avec les importateurs établis à l’étranger et de remédier à la perte de recettes douanières pour le gouvernement.
Grâce à un partenariat avec la société EVO Canada, les entreprises participant au programme « Bien fait ici » ont désormais la possibilité de réduire de milliers, voire de dizaines de milliers de dollars par année les frais que Visa et MasterCard leur exigent sur chaque transaction effectuée par leurs clients.