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« Il n’est pas dans l’ADN des dirigeants d’entreprises privées de demander l’intervention de l’État. Mais dans le cas de la lutte aux concurrences déloyales, la requête est formulée avec conviction, même avec une pointe d’inquiétude sentie. »
Afin d’appuyer la firme Hardlines dont le but est de bien informer la communauté d’affaires et de provoquer des débats sur les enjeux de l’heure dans notre industrie par le biais d’un événement national annuel de grande envergure, la direction de « Bien fait ici » a choisi de faire partie des commanditaires de la 27e édition de la Conférence Hardlines qui se tient au Fairmont Château Whistler en Colombie-Britannique, les 17 et 18 octobre.
Chaque année, autour de la Fête du Canada, le magazine Home Improvement Retailing édite sa section spéciale « Made in Canada ». Avec la permission de son éditrice, nous avons librement traduit en français l’un des principaux articles de cette année en raison de sa pertinence.
La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) vient de signer un mémoire que pourraient facilement reprendre à leur compte les chambres de commerce de tout le pays. L’étude propose un état des lieux et une dizaine de considérations stratégiques concernant les atouts et les vulnérabilités du secteur manufacturier face aux défis, mais aussi aux opportunités que pose cette multiplication des mesures subventionnaires et protectionnistes, en particulier aux États-Unis, mais également en Europe.
Les manufacturiers engagés auprès du programme « Bien fait ici » ont tous en commun, sauf exception, de vouloir aussi vendre leurs produits à l’extérieur des frontières du Canada. Si de véhiculer le logo « Bien fait ici » peut être séduisant, le certificat d’origine est, lui, formellement nécessaire pour faire des affaires avec l’étranger. Cet article de l’agence EDC démystifie en termes clairs les démarches à accomplir pour l’obtenir et le conserver.