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  • Négociations porteuses pour faire du Canada une attraction majeure du méga grand salon international au début de 2023

    La proposition de la direction de « Bien fait ici » (BFI) a vraiment retenu l’attention des promoteurs du National Hardware Show qui, à l’amorce des scénarios conceptualisant la réunion de cet événement avec deux autres salons majeurs (KBIS et IBS) sous un même toit (Vegas) à la même date (du 31 janvier au 2 février 2023). En quoi le pitch consiste-t-il? Faire du Canada l’une des attractions majeures de ce nouvel événement international sur lequel reposent les espoirs de toute la communauté de la quincaillerie et des matériaux pour relancer la popularité des foires en présentiel.

    L’idée discutée consiste à concevoir et à animer un pavillon où seraient présentés les avantages pour les marchands et les professionnels de rechercher des produits canadiens étiquetés BFI. L’axe d’animation envisagé implique l’incontournable sirop d’érable: des animateurs et animatrices en chemises à carreaux offriraient aux visiteurs de la tire d’érable sur neige.

    En marge du kiosque occupant possiblement 4000 pieds carrés, soit une surface apte à attirer l’attention, tout un programme d’affaires et diplomatique est en gestation: activités de type « Meet the Buyers » en privé avec les directions de quelques bannières visitant le salon, organisés avec l’aide des services commerciaux de l’antenne du gouvernement du Canada à Los Angeles, têtes-à-têtes avec des agences de représentation américaines pour les fabricants canadiens intéressés, et rencontres protocolaires avec les autorités des ambassades et consulats concernés.

    Pour leur part, les promoteurs de la foire envisagent des moyens promotionnels d’attirer des visiteurs à découvrir les produits canadiens en incorporant dans leurs relations de presse et leurs invitations une promo canadienne et en distribuant une carte interactive permettant aux visiteurs de situer sur le plan de l’exposition les stands des manufacturiers participant à BFI.

    Une fois le concept ficelé et ses coûts bien identifiés, l’équipe de BFI s’adressera au gouvernement canadien pour obtenir un support technique et financier.

    À suivre donc.